Avec José Cobos

 

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Le jubilé Guérin à Paris. Et quelques jours dans la capitale pour profiter des amis.
Une escale à Marseille pour les mêmes raisons amicales. Le coup d'envoi d'un match à Genève « pour faire plaisir à un ami... », avec une prolongation forcée en Suisse pour cause de grève des transports...

Et comme il restait un peu de place sur son carnet d'adresses, José Cobos a profité de ses vacances pour nouer de nouvelles amitiés. Pour cette fois-ci, une vraie coupure en famille, «j'ai sympathisé avec la Corse ». Entre Porto-Vecchio et Boni-facio, « où j'ai découvert, avec des gens de là-bas, des coins paradisiaques ».

« Une belle coupure » achevée sous antibiotiques, la faute à une otite externe qui n'a pourtant pas réussi à écorcher la félicité affichée depuis le coup de sifflet final contre Bruges. « On n'a pas eu le souci de se dire " qu'est ce qui va se passer 7 "Le club baigne dans la sérénité ».

La seule surprise de cette intersaison aura donc été l'annonce tardive mais bien accueillie d'une place en Intertoto. « Nous ne perdons finalement que deux jours de vacances. Et c'est beaucoup plus motivant de jouer quatre matchs de coupe d'Europe que quatre matchs amicaux ».

Un premier déplacement en Suède ou en Lituanie-réponse ce soir - « face à une équipe qui aura fait le même parcours que nous. Il n'y a pas de petits clubs. Je respec-i te tous les championnats ».

D'autant que les Niçois ont découvert hier qu'ils ouvriront le bal de la Ligue 1 face à un autre européen, Auxerre. « Ces matchs nous permettront de bien entrer dans la compétition ». Et comme s'il était besoin de le rappeler : « Nous pouvons travailler dans la sérénité ».