NICE  - STRASBOURG

 

 

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Fiche technique

 

A Nice (Stade du Ray): Nice et Strasbourg 0 à 0 (0-0)

Spectateurs: 12.527

Arbitre: E. Poulat


Avertissements:

Nice: Laslandes (69), Cobos (83)

Strasbourg: Lacour (25), Le Pen (31), Bassila (64), Kanté (75)


Les équipes:

Nice: Grégorini - Pamarot, Cobos (cap), Echouafni, Varrault - Bigné, Pitau, Dié (Diakité 82), Everson - Cherrad (Meslin 73), Laslandes

Strasbourg: Dutruel - Deroff, Fahmi, Kanté, Dorsin (Devaux 62) - Martins (cap) (Camadini 65), Lacour, Bassila, Le Pen (Abdessadki 88) - Ljuboja, Niang

 

 

Résumé 

 

NICE, 4 oct (AFP) - Strasbourg a arrêté le début de série de Nice, qui restait sur deux victoires d'affilée à domicile, en obtenant le match nul 0 à 0 au stade du Ray samedi lors de la 9e journée de Ligue 1 de football.

Strasbourg, parfaitement organisé, brida durant toute la première période son adversaire, qui s'égarait dans un jeu long laissant sur leur faim les attaquants Malek Cherrad et Lilian Laslandes.

L'occasion la plus nette revint même aux Alsaciens, avec une reprise de la tête de Corentin Martins boxée d'un poing par Damien Grégorini (35).

Peu après la pause, Grégorini, très performant sur sa ligne, coupait le démarrage en trombe de Strasbourg en repoussant la frappe en pivot à bout portant de Mamadou Niang (46). Il n'en fallait pas plus pour réveiller des Azuréens, qui donnaient du mouvement à leur jeu pour troubler un bloc-équipe adverse bien organisé.

Laslandes échouait deux fois à déborder Abdelilah Fahmi (50), le défenseur central, avant de reprendre des 16 mètres juste à côté (58).

Mais Strasbourg maintenait la menace avec un football résolument tourné vers l'offensive.

Les deux équipes, peu satisfaites de ce score nul et vierge, tentaient le tout pour le tout dans le temps additionnel. En vain. La frappe lourde d'Everson, le Brésilien de l'OGCN, ricochait sur la transversale (90+1) puis Niang ratait le cadre ouvert (90+2).


 

Avis Laterale Nissart

 

Pas inspirés les niçois devant cette équipe strasbourgeoise ,qui nous a fait une bonne impression .

Hormis quelques têtes et une frappe d'Everson , rien à se mettre sous la dent . Rien à retenir ou plutôt tout à oublier .

 Les niçois ont été absents toute la partie !!! Un match qui ne servira pas aux niçois de "revanche"(sur la défaite marseillaise) mais qui nous dirige tout droit vers le ventre mou du championnat!!!

 

Vos réactions

 

 

 

Réactions

 

 LILIAN LASLANDES :

« On n'a pas fait une bonne première mi-temps. Strasbourg nous a gênés et nous étions trop loin les uns des autres. Après, nous nous sommes repris, nous les avons poussés, mais ils étaient bien organisés. Il faudra récupérer ces points à l'extérieur ».

ROMAIN PITAU :

« Nous avons tout essayé mais cela ne nous a pas souri face à une solide formation de Strasbourg. On a juste peut-être manqué d'un peu de percussion offensive ».

OLIVIER ECHOUAFNI :

« Dans ce genre de match, il faut savoir se contenter du nul. Pour nous, c'est un peu un coup d'arrêt. La satisfaction est tout de même de ne pas avoir pris de but. On va maintenant bien se reposer avant d'aller affronter Rennes dans quinze jours ».

GERNOT ROHR :

 « Nous n'avons pas été en réussite. On aurait mérité de marquer mais chaque fais, un pied, le gardien ou la barre étaient là. On a tout essayé, en deuxième période nous avons bien contourné la défense mais il nous a manqué de la percussion. Il y a eu aussi trop de déchets techniques et de pertes de balle en première mi-temps. Cela dit, ce point est quand même une bonne opération, le nul n'est pas une injustice».

ANTOINE KOMBOUARÉ

« On a été solides défensivement et mon équipe a su montrer du caractère, ce qui est de bon augure pour la suite. Je m'attendais à une opposition difficile et au regard de la partie, le nul est équitable. Avant le match, j'aurais signé pour ce résultat ».

JOSÉ COBOS :

« Au regard de la deuxième mi-temps, on n'a aucun regret à avoir. On a donné le maximum. Cela a été un match nul équitable mais c'est vrai que j'aurais bien aimé qu'on l'emporte à la dernière minute sur la frappe d'Everson, comme on a perdu à Marseille ».