AVEC LES JOUEURS NICOIS...

 

L'expulsion:

Roy:

" J'ai la désagréable impression qu'on ne va plus rien nous passer. La preuve : même Télé-foot a qualifié de logique l'expulsion de José, C'est dingue ! Sur le coup, Santos saute et crie avant même que José ne le tacle. Moi, on m'a cassé la cheville lors d'un Troyes-Metz engagé. J'attends encore le coup franc et l'arrêt sur image...."

Gregorini :

" Nous sommes dans le collimateur. José a payé la note. Il y a quelques années, j'ai failli perdre un œil pendant un Nice-Cbâteauroux. Ce soir-là, un adversaire m'a taclé au visage alors que je me couchais sur le ballon. Opération, fractures... Le gars a pris un jaune et ne s'est pas excusé. L'affaire s'est arrêtée là. Alors, s'acharner sur nous me paraît déplacé 1"

Cobos:

"Sur l'action,je ne touche pas Santos. Je prends le ballon. Ce genre tacle, je le fais à l'entraiment. Pas spécialement contre Sochaux... L'arbitre s'est trompé. Ça arrive,Mais si lui a passé un bon dimanche. Ce n'est pas mon cas..."

 

Avec les buteurs :

Mionnet :

" En provoquant le "péno",ie suis  passé du doute à la confiance. Apres, j'ai davantage osé. Tenté. Le but ? Je fais l'appel. Everson me donne le ballon parfait. Je vois le gardien légèrement avancé. Mais je pense que les défenseurs qui m'encadrent vont intervenir quitte à faire faute. Heureusement, ils m'ont laissé ajuster le lob. J'espérais ce but. Il m'a procuré une décharge de bonheur. "

" J'avais presque peur qu'il me siffle( à la pause). On attend toujours beaucoup d'un nouveau. Mais le Ray m'a poussé. Encore et encore. D'ailleurs, malgré ~ l'expulsion de José, nous avons fini à onze contre onze.."

Everson :

" Je suis cuit! Je souffre des deux chevilles. Pour la deuxième fois, j'ai joué grâce à une piqûre. Mais depuis trois semaines, je suis moins performant. Je me dois d'apporter plus"

"L'action de Troyes où je suis le penalty repoussé de Kaba sans pouvoir conclure m'a hanté durant les trois jours séparant les deux rencontres. Là, quand j'ai vu Richert repousser le penalty d'Eric (Roy), /ai su que fe ballon était pour moi. Il ne pouvait en être autrement... En poussant le cuir de la semelle, j'effaçais le raté de mercredi "